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Mise en œuvre du Grenelle de l’Environnement Pierrette Crosemarie (Cese): « Il faut passer la vitesse supérieure »

« La dynamique du Grenelle de l’Environnement s’essouffle, il faut passer la vitesse supérieure » : tel est le bilan du Conseil économique, social et environnemental sur l’application du Grenelle de l’environnement. Pour le secteur agricole, l’atteinte des objectifs en matière de réduction des produits phytosanitaires, de développement de l’agriculture biologique et de la certification environnementale, prend du retard. Pour le rattraper, Pierrette Crosemarie, rapporteure du Cese, émet plusieurs recommandations autour de la recherche, la formation et l’information.

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Pierrette Crosemarie, rapporteure pour le Conseil économique, social et environnemental, présentait, mercredi 15 février 2012, un avis sur le bilan du Grenelle de l’environnement.

Le Grenelle s’est concrétisé par trois actions majeures pour les agriculteurs : la mise en place d’Ecophyto, avec un objectif de réduction de 50 % de l’usage de phytosanitaires, si possible, d’ici 2018, le développement de la production biologique, avec 20 % des surface converties d’ici 2020, et le déploiement de la certification environnementale. 

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(Cliquez sur la vidéo pour la démarrer)

Pour accélérer la mise en œuvre du Grenelle de l’environnement dans le secteur agricole, le Cese recommande de :

Enfin, le Cese demande aux pouvoirs publics de s’engager à plus long terme sur les politiques agricoles, « les entreprises et les exploitations ayant besoin de visibilité et de lisibilité pour aborder les transitions ».


Rapporteure de l'avis du Cese sur le bilan du Grenelle de
l'environnement, Pierrette Crosemarie souhaite que les agriculteurs
soient davantage sensibilisés aux atouts de la réduction des 
intrants. (© Terre-net Média)

 

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